In onze buurt

Qu'on aime ou pas, tout le monde a entendu parler du noir Soulages. Ici, on apprend à découvrir d'autres facettes de l'artiste : brou de noix et peintures sur papier, œuvres imprimées et cartons des vitraux de Conques, eaux-fortes et sérigraphies : une façon éclectique de l'envisager.

Optez pour la réservation de votre salle en ligne! Nos salles, vous offriront un cadre de travail idéal dans une atmosphère chaleureuse et moderne. Elles disposent de la lumière naturelle et sont climatisées. Pour vos pauses, profitez de l'accès direct au rooftop. Inclus dans la location de la salle: café d'accueil (et sa collation), pauses cafés, paperboard, vidéoprojecteur, portant, miroir et connexion wifi. Nos salles sont modulables, si vous souhaitez une salle plus grande ou plus d'informations. Contactez-nous au 05-65-67-08-15.

Le lac du Val de Lenne, c'est un plan d'eau de 17 hectares, alors, forcément s'y est installé une base nautique très appréciée pour la diversité de ses activités (canoës, planches à voile, stand up paddle…), et ses alentours avec ses sentiers balisés ou son parcours santé. La baignade est surveillée en été et la buvette promet des boissons fraîches.

Sollicitant un grand nombre de muscles, le disc golf se joue comme le golf mais au lieu de lancer une balle à l'aide d'un club, on lance un disque (frisbee) à la force du bras pour réaliser en un minimum de lancers un parcours de 18 trous représentés par des corbeilles. Ici, le prêt de disques et l'initiation est gratuite pour les joueurs débutants et l'accès libre. Une discipline à découvrir en famille.

Avec ses maisons du XIIIème siècle superbement préservées, Sauveterre-de-Rouergue vous invite à un voyage au cœur du Moyen Âge au cours duquel vous rencontrerez des artisans d'art bien actuels qui perpétuent un savoir-faire ancestral avec talent, mais aussi de jeunes talents de la scène musicale et un restaurant étoilé. Rencontre au sommet du bon goût. L'Histoire et les Puissants l'ayant contrainte à se restreindre à un territoire minuscule, réduit aux murs de sa bastide (soit à un rectangle de 225 mètres par 175 mètres), Sauveterre-de-Rouergue a soigné avec amour, malgré les épidémies et les famines dues aux guerres et entretenues par la promiscuité, le moindre de ses recoins pour devenir l'un des deux plus beaux villages du Rouergue, l'autre étant Belcastel. Cette belle constance a permis à cette courageuse petite cité de conserver merveilleusement les restes de ses remparts, détruits au XIXème siècle pour lui donner un peu d'oxygène, une partie de ses douves, deux belles portes et, surtout, ses belles maisons à pans de bois. Sauveterre-de-Rouerge est traversée par 4 rues longitudinales parallèles, larges de 6 mètres, coupées par des rues de traverse de 4 mètres, délimitant ainsi 9 îlots, divisés en ruelles appelées carrieyons, dont l'ensemble forme ainsi un orthogone, imparfait (les rues ne sont pas toutes complètement rectilignes) dont le centre est la place Principale, véritable clé de voûte de la cité. Bordée de « gitats » (XIVème et XVème siècle), galerie couverte formée par la saillie des maisons patriciennes, commerces ou habitations le plus souvent en pierres, qui permettent d'abriter les promeneurs, cette place, ornée en son centre d'un puits et d'une croix en fer forgé (1782), a depuis toujours pour vocation d'accueillir les foires, médiévales autrefois, aux multiples facettes, aujourd'hui. Les vendredis soirs d'été, les étals chargés de produits locaux (foie gras, saucisses, aligot, fromages, charcuteries, vins…) du marché nocturne de Sauveterre-de-Rouergue fleurissent tout autour des arcades, avec, pour assurer le spectacle, déjà gourmand, des musiciens et des danseurs en costumes locaux. Octobre n'est pas en reste avec la traditionnelle et gourmande fête de la Châtaigne et le festival Roots'Ergue, qui rassemble tous les amateurs de Reggae et de musiques du monde. Et ce n'est qu'un bref aperçu de la vitalité et inventivité de cette vieille dame qui compte bien profiter pleinement des siècles à venir en s'amusant. Pour autant, la bastide n'a pas coupé avec ses traditions ancestrales. Son ancien couvent et le presbytère, rénovés, accueillent des expositions et des stages de créations artistiques animés par des artisans du territoire. Une démarche qui a permis d'accueillir de nouveaux artistes, complémentaires à ceux des artisans d'art de Sauveterre-de Rouergue installés de longue date. Enfoncez-vous dans ses rues pour admirer les maisons à pans de bois et toit de lauze, leurs beaux encorbellements, les ponts suspendus et la collégiale Saint-Christophe, dont le clocher est l'élément le plus ancien de la cité, et qui abrite un magnifique mobilier (XVIème, XVIIème et XIIIème). Si vous suivez une rue principale jusqu'au bout, vous arriverez à l'hortalica, jardins municipaux dont chaque famille avait reçu une parcelle à l'origine et, par-delà, toutes les autres beautés de l'Aveyron vous attendent.

Face aux monts d'Aubrac, du haut de son piton, deux mille ans d'histoire vous saluent ! Des Wisigoths aux Anglais – encore la Guerre de Cent Ans ! - des Francs aux Maures, des ducs d'Aquitaine aux Comtes de Toulouse, tous l'auront occupée. Et de sa cathédrale gothique aux parallélépipèdes d'acier du Musée Soulages , des tripous de la ferme auberge à ceux réinterprétés par Michel Bras... elle assume sans sourciller ses contrastes, architecturaux comme culinaires. Alors oui, on sillonne d'abord le centre-ville historique. Au Moyen Âge, la ville se scinde en deux, le Bourg et la Cité, chacun avec sa propre muraille : la Guerre de Cent Ans verra leur réunification à l'abri d'un seul rempart. Aujourd'hui, on passe sans s'en rendre compte de l'un à l'autre, avec, en point de mire, la cathédrale justement. Commencée au XIIIème siècle mais achevée quelques trois siècles plus tard, elle est réputée non seulement pour son altier clocher plat - il culmine à 87 mètres - mais aussi, ses stalles sculptées et ses vitraux contemporains signés Stéphane Belzère. Tout autour gravite un chapelet de demeures émouvantes comme celle des Guitard avec ses belles fenêtres géminées, la maison de Molinier avec ses loggias gothiques ou encore la maison d'Armagnac, ornée des portraits sculptés des comtes et comtesses de la ville. Tel un gracieux trait d'union vers les quartiers plus récents, le jardin du Foirail accueille le fameux musée Soulages, récemment inauguré en grandes pompes. En léguant près de 500 de ses œuvres, l'enfant du pays a clairement posé un éclairage nouveau sur Rodez. Et pourtant, si l'on doit s'ébaudir, élargissons notre curiosité devant la magnifique collection de statues-menhirs du musée Fenaille , la plus importante de France. Vous préférez la sculpture ? Allez en face, ou presque : le musée Denys-Puech y présente bien sûr les œuvres de cet artiste –encore un natif de la région – mais aussi des collections plus contemporaines à travers des expos temporaires. Et pour mettre tout le monde d'accord, on finit par une visite bien plus ludique ; abritant un haras national , l'ancienne chartreuse s'impose comme une évidente escale familiale !

La région Midi-Pyrénées est un véritable vivier de petits villages de charme, des cités médiévales dominant le paysage, nichées dans des écrins verdoyants et marquées par les vestiges des châteaux, remparts, églises et vieilles abbayes. Belcastel, une atmosphère moyenâgeuse Belcastel est un haut lieu du tourisme de l'Aveyron, avec ses calades, et son château fort du 11ème siècle dominant le bourg. Une atmosphère moyenâgeuse et bucolique, pour flâner le long de la rivière Rouergue ou sur le vieux pont en pierre qui l'enjambe. Conques, sur la route de Saint Jacques de Compostelle Accroché à flanc de collines, le village médiéval de Conques est une étape incontournable de la route menant à Saint Jacques de Compostelle. L'abbatiale Sainte-Foy de Conques, inscrite au Patrimoine mondiale de l'Unesco en est le cœur, et le village construit en forme de coquillage l'entoure. Najac et son château royal Le village de Najac, entouré de verdure s'étire le long d'une rue unique, nichée sur une crête rocheuse. Couronnant le village, le château royal est un édifice imposant et imprenable érigé par Alphonse de Poitiers au milieu du XIIIème siècle. Peyre, un village troglodyte Sur les bord du Tarn, Peyre est un village de l'Aveyron bâti à flanc de falaise. Du tuf, abritant des grottes, des maisons et une église romane troglodyte donnant à la petite cité un cachet incomparable. S'y ajoute un beau panorama sur la vallée et le viaduc de Millau. Puycelsi, dans un écrin verdoyant Cerné par des remparts, Puycelsi dans le Tarn se dresse fièrement au dessus de la forêt Grésigne. Un écrin verdoyant pour le village fondé en l'an Mil par les moines de l'abbaye d'Aurillac. Ses rues abritent de jolies demeures médiévales, des maisons à colombages et une église datée du 14ème siècle. Autoire et son cirque rocheux Niché dans le creux d'une vallée au nord-est du Lot, Autoire est un village de caractère méritant une petite halte. Pour sa petite place entourée de maisons à colombages, pour ses demeures coiffées de toits de tuiles brunes ou pour son cirque rocheux dissimulant une cascade. Et à quelques encablures se trouve le fameux gouffre de Padirac ! Sainte-Eulalie d'Olt, un défilé de couleurs Le village médiéval de Sainte-Eulalie d'Olt vous ravira, lors de vos balades le long du Lot ou dans les jolies ruelles qui vous offriront un défilé de couleurs, grâce aux nombreuses fleurs qui ornent placettes et balcons. Une douceur de vivre complétée par un patrimoine architectural authentique, comme en témoigne l'église paroissiale du XIème siècle ou le château du XVème siècle. Brousse-le-Château et son vieux pont de style roman Perché sur un éperon rocheux, le vieux bourg de Brousse-le-Château à su conserver son caractère médiéval. Avec le château-fort bâti au XIème siècle, et qui conserve toujours des vestiges de ses remparts, les maisons aux toits de lauzes ou l'église de style ogival figurant sur le chemin de Saint Jacques de Compostelle. Carennac et le prieuré de l'ordre de Cluny Le village de Carennac est une petite cité médiévale du département du Lot doté de deux joyaux architecturaux, l'église Saint-Pierre, un prieuré de l'ordre de Cluny édifié au XIème siècle et le Château des Doyens, résidence de Fénélon, qui y aurait écrit son célèbre roman « Les Aventures de Télémaque ». Auvillar, pour flâner jusqu'à la place de la Halle Faites un petit tour dans le village d'Auvillar et arpentez ses jolies ruelles pavées bordées de petits commerces, galeries d'arts et restaurants. Une flânerie qui vous conduira jusqu'à la place de la Halle et sa halle aux grains de plan circulaire accueillant de nombreuses manifestations culturelles.

Ambialet est une commune située à moins de 20 km à l'est d'[Albi]. Le Tarn y forme une boucle qui créé une presqu'île dominée par un promontoire rocheux. Celui-ci accueille un prieuré qui vous offre une vue imprenable sur les plateaux de l'albigeois et le [Ségala].

 Ontdek Najac en de Gorges de l'Aveyron! Met veel buitenactiviteiten kunt u de Gorges de l'Aveyron op een sportieve en leuke manier ontdekken. Met familie, vrienden of groepen bieden we dagelijks kanoën, paddleboarding, boomklimcursussen in ons avonturenpark en mountainbiken, elektrisch mountainbiken of elektrisch hybride fietsen. Andere activiteiten zoals via ferrata, klimmen, speleologie, klimstromen worden ook georganiseerd ... De vereniging van Gorges de l'Aveyron biedt u verrassingen en onvergetelijke momenten! Van het individu tot de receptie van grote groepen, iedereen zal vele mogelijkheden vinden om de genoegens te variëren.

Située quasiment à équidistance de Toulouse et de Montauban , respectivement au sud-ouest et à l'ouest, Albi est le chef-lieu du département du Tarn et la troisième ville en termes de population de la région Midi-Pyrénées . La commune s'étend aujourd'hui tout autour d'une boucle du Tarn, la rivière. Comme souvent, c'est l'eau et les ressources minières qui ont déterminé les premières installations d'hommes. S'ils s'y sont sédentarisés, c'est aussi parce qu'Albi bénéficie d'une situation défensive attrayante, véritable oppidum naturel. Les Gaulois, les Romains, les Wisigoths puis les Francs se sont emparés de la région. Au Moyen Âge, Albi devient une place forte. C'est la construction du premier pont, l'actuel Pont Vieux , sur le Tarn au Xème siècle qui a permis à la ville de se développer sur ses deux rives. Fief des Trencavel, vicomtes d'Albi et vassaux des comtes de Toulouse, la ville devient un haut lieu du catharisme. D'où le surnom des Cathares, les Albigeois. Passée sous son giron au début du XIIème siècle, la ville y voit s'asseoir l'autorité de l'Eglise catholique romaine par la construction d'un palais fortifié et d'une cathédrale. Celle-ci dure deux siècles. Le Palais de la Berbie et la cathédrale Sainte-Cécile deviennent les emblèmes de la ville. C'est ce formidable ensemble épiscopal que l'on peut admirer aujourd'hui et qui est classé au Patrimoine mondial de l'UNESCO. C'est également à travers d'illustres personnages qu'Albi est connue dans le monde. Parmi eux, il y a l'artiste Toulouse-Lautrec à qui est dédié le musée éponyme implanté dans le Palais de la Berbie. On peut également citer Jean-François de Galaup de Lapérouse, célèbre explorateur du XVIIIème siècle qui parcourra l'Atlantique et le Pacifique à la tête de deux frégates, la Boussole et l'Astrolabe. Un voyage sans retour puisque les navires s'abîmeront aux alentours des îles Santa Cruz en 1788. Si Albi est une ville d'histoire à parcourir de long en large, il est salvateur de se poser quelques heures sur la place Vigan où vous attendent nombre de cafetiers. Une pause d'autant plus rafraîchissante en été grâce aux jets d'eau qui sortent du sol.

La Forteresse royale XIIème-XIIIème siècle est un exemple extraordinaire de défense militaire. Ce château fut mêlé activement aux luttes contre les cathares et à la guerre de cent ans. Son cachot servit de prison aux derniers templiers du Rouergue. Une formidable puissance : Témoin du génie architectural militaire du Moyen-Âge, l'extraordinaire puissance défensive du château est mise en évidence par une grande maquette. Le donjon abrite des archères de 6,80 m, uniques au monde. À mi-hauteur, la chapelle gothique, aux innombrables marques de compagnons, cache le passage secret du dernier refuge des Gouverneurs, avant d'accéder au panorama grandiose sur la cité de Najac. Document de visite disponible en plus de 15 langues différentes

Le canyon de Bozouls Le canyon de Bozouls est une extraordinaire curiosité géologique, aux dimensions impressionnantes : 400 m de diamètre, 100 m de profondeur ! Ce site géologique unique, dit "Trou de Bozouls", est un cirque naturel, un canyon en forme de fer à cheval creusé dans les calcaires du Causse Comtal. Ce méandre encaissé est le fruit de l'action érosive des eaux et des étapes d'encaissement des cours d'eau. Tout modeste qu'il soit maintenant, c'est le Dourdou qui, durant des millénaires, a façonné cette étonnante curiosité naturelle. Classé Espace Naturel Sensible, le canyon abrite des habitats naturels, une faune et une flore remarquables. En empruntant les sentiers, le promeneur pourra découvrir toute cette richesse, parfois cachée, guidé par des panneaux pédagogiques. Ces sentiers, aménagés de passerelles en bois permettant de franchir le Dourdou en toute saison, offrent de beaux points de vue sur les Gorges du Dourdou.  La configuration géographique du site de Bozouls en a fait, de tout temps, une incomparable position de défense. Le premier village et son château, construits sur l'éperon rocheux, seulement accessible par le sud, étaient ainsi fort bien protégés.  Le château semble avoir existé dès le IXème siècle ; il figure parmi les possessions des Comte de Rodez. Aujourd'hui, il ne reste rien du château, mais on continue à appeler "le château" le vieux village. Au fil des siècles, les maisons ont essaimé vers la rive droite du Dourdou, d'abord à l'ombre de deux tours médiévales, sans rapport apparent avec l'ancien château, puis ont escaladé la pente pour s'étendre en bordure du plateau   Une autre façon de découvrir le site exceptionnel du Canyon de Bozouls : Embarquez toutes les heures, en toute quiétude, à bord du Petit Train Touristique. Venez découvrir le site spectaculaire de Canyon de Bozouls classé Espace Naturel Sensible, son patrimoine culturel et naturel. Une escapade fantastique pour le plaisir de tous. Venez prendre de la hauteur!  Pour les mateurs de sensations fortes, n'hésitez à venir traverser en tyrolienne notre spectaculaire Canyon! Le Petit Train vous attend place de la Mairie les weekends prolongés hors saison et tous les jours pendant la période estivale. en septembre du 1 au 14 départ à 14h30 en octobre du 19 au 30 départ 14h30 La tyrolienne fonctionne : le 14 septembre 2025 de 15h00 à 16h00 Renseignements pour les départs du petit train et de la Tyrolienne :  Office de Tourisme Terre d'Aveyron Tél. : 05 65 44 10 63  ou Mairie Tél. : 05 65 51 28 00.

La France est parcourue de ponts et de viaducs ayant marqué l'Histoire, et le paysage. Des constructions titanesques considérées comme de véritables ouvrages artistiques. Un mélange d'audace et de technique. Le pont du Diable à Valentré, sur la route de Saint-Jean de Compostelle Il aura fallu plus de 70 ans pour érigé le pont du diable de Valentré, sur la partie Ouest du Méandre de Cahors. Daté du XIVème siècle il est constitué de huit arches surmontées par trois tourelles. Le site est classé Monuments Historiques, il se trouve sur les chemins de Saint-Jacques de Compostelle. Le pont du Gard, un aqueduc romain hors du commun Le pont du Gard est l'aqueduc romain le plus haut du monde. Construit en 50 après J.-C, il servait à alimenté la ville de Nîmes en eau courante, grâce à ses trois étages. Un décor unique en pleine nature surplombant le Gardon. Le pont Alexandre III, un héritage de l'exposition universelle de 1900 Le pont Alexandre III est un des plus beaux ponts de Paris. Inauguré à l'exposition universelle de 1900, il relie l'esplanade des Invalides à l'avenue Winston Churchill. Une œuvre caractérisée par ses pylônes monumentaux, surmontés de bronzes dorés. Le viaduc de Millau, le pont de tous les records Le viaduc de Millau est un incroyable pont haubané construit pour faciliter la circulation. S'élevant à 343 mètres au dessus de la vallée du Tarn, il est traversée chaque année par plus de 5 millions d'automobilistes. Le viaduc de Garabit, un ouvrage précurseur Dans le haut plateau de la région des Causses (Massif Central) se trouve le viaduc de Garabit, un géant de métal classé Monument historique et signé Gustave Eiffel. Sa structure métallique, alliant la performance à l'esthétique se retrouvera sur la Tour Eiffel quelques années après. Les haubans du pont de Normandie Reliant le Havre à Honfleur, le pont de Normandie enjambe l'estuaire de la Seine. Bâti entre 1988 et 1995, c'est une route suspendue longue de 2 kilomètres, avec des haubans fixés à des pylônes culminant à 212 mètres d'altitude. Le pont du Vecchio, un chef d'œuvre signé Gustave Eiffel Construit entre 1890 et 1892 par Gustave Eiffel, le pont du Vecchio en Corse est un immense viaduc en métal situé en plein cœur des montagnes, entre les villes de Venaco et Vinario. Un chef d'œuvre parcouru d'une voie ferrée, que l'on traverse via le petit train Corse pour une balade hors du temps. Le pont de Rohan à Landerneau Le pont de Rohan, dans la ville de Landerneau est l'un des derniers ponts habité d'Europe. Construit en pierres, en schistes et en granit le pont abritait autrefois un moulin, une prison et même un cabaret, avant l'arrivée des petites maisons sur pilotis.

Avec ses 260 habitants et ses quelque 30 km², Conques est une petite commune de l'Aveyron située à une dizaine de kilomètres à l'est de Decazeville et une trentaine au nord de Rodez . Malgré ses dimensions, le village bénéficie d'un rayonnement important en France et dans le monde du fait de son patrimoine bâti et de sa situation sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle . La commune fait partie des Plus Beaux Villages de France. Conques est avant tout connue pour sa splendide église abbatiale Sainte-Foy de style roman dont elle est considérée comme l'un des chefs-d'œuvre. Son édification a débuté au XIème siècle. Elle suit un plan en croix classique. L'abbatiale brille par la présence de son tympan qui orne le portail principal et représente le Jugement Dernier. Des vestiges de son cloître datant du XIIème siècle subsistent. Son nom, l'église le doit aux reliques de Sainte-Foy ramenées à la fin du IXème siècle. L'église de Sainte-Foy a abrité (sous la protection des habitants) pendant plus de 10 siècles des trésors, parmi lesquels une statue d'or incrustée de bijoux représentant la sainte. Ces trésors sont aujourd'hui présentés au public dans des salles du Trésor. Elle contient également un trésor plus actuel : ses vitraux dessinés par le peintre Pierre Soulages, une superbe intégration du modernisme dans l'ancien qui ne fut pas sans créer la controverse mais participe aujourd'hui totalement à la célébrité du lieu. Conques est érigée sur la Via Podiensis. C'est la version latine pour la voie du Puy, soit la route en provenance de Puy-en-Velay , l'un des quatre chemins principaux du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle. Le village est une étape majeure du pèlerinage et plus largement des randonneurs qui suivent le chemin vers Compostelle, matérialisé par le balisage du GR65. Outre la randonnée pédestre, les abords de Conques permettent également de pratiquer le cyclotourisme, le canoë et le kayak, la pêche. Non loin du village se pratiquent aussi l'escalade et la spéléologie. Les cavaliers pèlerins ne sont pas oubliés et pourront même trouver pour leur monture un magasin de sellerie. D'autres artisans sont également présents ainsi que différents ateliers d'art (sculpture, peinture, tapisserie…).

La commune de Salles-la-Source a été construite sur trois terrasses de tuf que traverse un cours d'eau. Cette configuration étagée fait qu'en plein cœur de ce village tombe une magnifique cascade, dont la réputation dépasse les frontières de l'Aveyron.

Il aura fallu deux siècles, de 1282 à 1480, pour bâtir l'emblématique édifice d'[Albi] qui ressemble plus à une forteresse qu'à un lieu de culte. Classée en 2010 au Patrimoine mondial de l'Unesco, c'est la plus grande cathédrale en briques du monde (113 mètres de long par 35 mètres de large).

Cette église abbatiale a été construite du XIème au XIIème siècle. C'est un monument typique de l'art Roman classé au Patrimoine mondial de l'Unesco. Le portail principal comporte un tympan unique décrivant le Jugement Dernier et l'artiste Pierre Soulages y a réalisé des vitraux contemporains.

Saint-Côme-d'Olt doit à Antoine d'Estaing, évêque d'Angoulême et prieur de Saint-Côme d'avoir fait bâtir (entre 1522 et 1532) une église de style gothique flamboyant, aujourd'hui célèbre pour son curieux clocher flammé "tordu". La spirale qui justifie ce surnom est d'origine inconnue. Il se peut qu'elle ait été voulue par les architectes ou bien créée sous le poids de la charpente. C'est là qu'on faisait le guet. Un service de garde y siégeait jour et nuit. L'église dans son ensemble conserve le coeur de Monseigneur Frayssinous, ministre de l'instruction publique sous Charles X, qui séjourna à Saint-Côme dans la maison d'Armagnac. Le Christ en bois de noyer est l'oeuvre du sculpteur du choeur de la cathédrale de Rodez. Chacune des portes sculptées en chêne compte 365 clous en fer forgé. Voilà un monument historique à ne pas manquer.

Accès : À côté de la cathédrale

Les touristes épris d'architecture futuriste ne sont pas les seuls à se rendre à Millau pour découvrir son célèbre viaduc : nombreux sont aussi les professionnels du génie civile à venir s'extasier devant ce pont ! Et pas sans raison bien sûr : 2 460 mètres de long, 32 de large, 343 de haut (19 de plus que la Tour Eiffel ), 245 pour la plus haute pile et 87 pour les pylônes au-dessus, 36 000 tonnes d'acier (5 fois la Tour Eiffel), 85 000 m³ de béton (soit 206 000 tonnes), 400 millions d'euros… Bref, toutes ces données et plus encore, on peut en prendre connaissance dans deux lieux dédiés au monument. D'abord, sur l'aire du Viaduc de Millau de l'A75, à l'espace nommé « Viaduc Expo », logé dans une ancienne ferme caussenarde : des panneaux, des maquettes, un film… explique tout. Et pour admirer ce tout, rien de tel qu'un belvédère, à deux pas, offrant une immanquable vue ! L'autre endroit s'appelle le « Viaduc Espace Info » : il faut se rendre sous l'ouvrage, à 5 minutes de Millau en direction d'Albi, pour y découvrir l'exposition en intérieure et le Jardin des Explorateurs de 6 000 m², qui montrent le Viaduc sous toutes ses facettes. Une petite dizaine d'autres points de vue sont conseillés par l'office de tourisme de Millau. Autres moyens d'apprécier le pont, plus actifs pour sûr : le canoë, la randonnée, le parapente, l'autogire… Mais au-delà des chiffres et des records, ce viaduc, c'est aussi toute une histoire ! Elle débuta en 1987 alors que les premières ébauches de tracés, pour relier les deux rives du Tarn, étaient présentées. Ce ne fut cependant qu'en 1994 que l'on opta finalement pour la construction d'un pont aux environs de Millau. Michel Virlogeux et le réputé Norman Foster remportèrent, en 1996, l'appel d'offres. Mais là encore, Il fallut attendre, et ce jusqu'en décembre 2001, date à laquelle la première pierre fut enfin posée. Ensuite, il est vrai, tout s'accéléra et en 3 ans le projet fut mené à bien. Au plus fort des travaux, près de 600 compagnons travaillèrent sur le chantier, avec les technologies les plus avancées. En 2002, les piles prenaient de la hauteur, les points d'ancrage sur les causses étaient peu à peu réalisés et l'assemblage du tablier d'acier débutait. Son premier tronçon de 171 mètres de long fut « lancé » le 25 mars 2003 : il partit droit dans le vide pour aller se poser sur les piles. L'opération fut ainsi renouvelée pas moins de 17 fois. À 14h12, le 28 mai 2004, les deux morceaux du tablier se rejoignaient, à 270 mètres au dessus du Tarn ! Il fallut encore, bien sûr, installer les pylônes et leurs 154 haubans pour soutenir le tablier. Fin septembre, on s'occupa des finitions : revêtement de la chaussée, dispositifs de sécurité, éclairage, péage… Le 16 décembre 2004, la première voiture s'aventurait sur ce tronçon autoroutier de l'A75 franchissant le Tarn sur le pont alors le plus haut du monde.